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Malika Ménard qui vient de publier livre autobiographique intitulé « Fuck les complexes » s’est livrée à une série de révélations et de confidences sur ses traumatismes les plus profonds et les plus douloureux. Elle se confie entre autres sur les raisons qui rendent impossible pour elle d’envisager une chirurgie esthétique. Explications.
L’ancienne Miss France cachait de bien lourds traumatismes, sous son visage digne d’une déesse de beauté. Victime d’une agression sexuelle à l’âge de cinq ans, l’enfant Malika a développé de sérieux complexes vis-à-vis de son corps, à l’époque. Cette expérience traumatisante hantera toute son enfance et son adolescence affectant sa relation avec son propre corps.
La jeune femme a beaucoup œuvré pour se reconstruire et se défaire de l’instabilité affective dont elle souffrait. En expliquant ses traumatismes et ses complexes dans son livre paru récemment, la jeune femme revient sur les raisons qui font qu’elle ne se soumettra jamais à une chirurgie esthétique.
La reine de beauté a été on ne peut plus claire : elle ne subira jamais une chirurgie esthétique ! Elle explique son attitude tranchée par son ancien traumatisme qui remonte aussi à son enfance où elle a subi une opération chirurgicale à la main. L’expérience a laissé des séquelles que la jeune femme a fini par surmonter au bout d’une période assez longue.
Mais ce qui explique et justifie réellement l’attitude de Malika Ménard vis-à-vis de la chirurgie esthétique, c’est une anecdote qu’elle a eu avec un chirurgien esthétique et qui lui expliquait une procédure, pour le moins, brutale pour une rhinoplastie. « […] Un chirurgien esthétique m’explique que l’on refait un nez à coups de burin.
Cette violence, je ne pourrais pas ! Je ne porte pas de jugement sur cette pratique, mais le problème, c’est que ça devient une addiction ». Cette double peur de la procédure chirurgicale esthétique, et de l’éventuelle addiction qu’elle pourrait engendrer, paraissent bien légitimes, même si dans la réalité l’avancée des techniques chirurgicales sont aujourd’hui bien moins invasives et moins violentes qu’il n’y parait.