Votre chirurgie esthétique en toute sécurité avec clinique MEDESPOIR TUNIS
S’il est tout à fait normal aujourd’hui de concevoir que de nos jours la chirurgie esthétique soit énormément popularisée et banalisée dans différents pays du monde, notamment aux Etats-Unis, en Italie ou en Arabie Saoudite, il faut néanmoins savoir que les pays du continent asiatique ont un rapport tout particulier avec les interventions plastiques.
En effet, si on analyse particulièrement la situation de la Corée du Sud, on observe que la chirurgie esthétique représente un phénomène aux dimensions insoupçonnées. Des interventions comme l’augmentation mammaire, la rhinoplastie (chirurgie du nez) ou la génioplastie (chirurgie du menton) sont tellement pratiquées que le nombre de patients a rapidement propulsé le pays à la tête des nations qui pratiquent le plus la médecine réparatrice, avec l’opération du nez qui représente la pratique la plus sollicitée.
A la vue de ses informations, une question surgit spontanément dans notre esprit : pourquoi un tel engouement pour cette pratique dans ce pays ?
Selon des études menées par l’état sud-coréen on découvre qu’environ une femme sur cinq à Séoul, la capitale du pays, a déjà eu recours au bistouri pour changer un aspect du visage, en particulier le nez et le menton, et qu’environ 750 000 interventions avaient eu lieu dans le pays au courant de l’année 2014.
D’une manière plus globale, il est estimé qu’en prenant en compte les deux sexes, environ 16 coréens sur 1000 aurait demandé les services d’un plasticien. Des chiffres qui donnent le tourniset qui peuvent être expliqués en partie par cette volonté des individus de se démarquer dans une société ultra-compétitive : en effet, le culte de la perfection esthétique est tellement ancré dans la culture du pays du matin calme, que le simple fait d’afficher des imperfections corporelles peut être un handicap pour percer dans le milieu professionnel ou réussir la vie sociale ou même sentimentale.
Une mentalité toute particulière fait qu’une pression constante pèse sur les épaules des jeunes coréennes, mais aussi les hommes, qui désormais trouvent qu’il soit normal voire même nécessaire de rendre visite au chirurgien pour gommer les défauts du visage susceptibles de causer un rejet de la part des élites de la société.
Le nombre croissant des jeunes coréens ayant recours à la chirurgie s’explique également par l’énorme impact que les idoles du monde des médias ont sur les jeunes mentalités, notamment les stars de la K-pop (chanteurs d’un style musical propre aux pays asiatiques) qui instaurent de hauts standards de beauté que les jeunes se sentent poussées à imiter. Même une simple promenade dans la rue, où les affiches et les panneaux publicitaires qui recouvrent les murs et qui véhiculent sans cesse une image de perfection esthétique peut vite se transformer en une remise en question pour les jeunes filles du pays qui se sentent en devoir d’imiter les stars du monde du spectacle en commençant par une rhinoplastie, élément qui va servir à transformer la zone centrale du visage et à affiner les traits de la figure, afin d’avoir un majeur succès dans la vie quotidienne et briller en société.
Mais la rhinoplastie est également un des moyens les plus efficaces pour se conformer au modèle de beauté occidental jugé idéal, car la chirurgie du nez va permettre d’obtenir un nez plus fin et plus long, beaucoup plus semblable à une typologie de visage européen ou américain, synonyme de traits fins et de démarcation.
La rhinoplastie est également souvent combinée à une opération de génioplastie pour harmoniser et optimiser le résultat obtenu, mais aussi à un débridage des yeux, signe ultime de la détermination des sud-coréens à changer d’aspect pour mieux réaliser leur ambitions, et qui n’hésitent plus à se débarrasser ainsi d’une caractéristique unique propre à leur patrimoine génétique, s’abandonnant à une certaine forme de conformisme considérée comme sécurisante et permettant d’accéder à un avenir plus sûr au sein de leur société.